CONCERT URGENCE LA POLICE ASSASSINE

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Concert de soutien, Amal Bentounsi elle-même soeur de victime (son frère a été tué d’une balle dans le dos le 21 avril 2012) a fait l’objet d’une plainte en justice pour oser faire porter la responsabilité à l’institution policières des crimes commis par ses agents. Au delà des innombrables obstacles que rencontre la quête de vérité des familles de victimes, se voir dénigré ou traîné devant les tribunaux après avoir subi la mort d’un proche constitue une ultime offense envers leur dignité et un mépris pour leur désir de justice. De site internet, Urgence notre police assassine est donc devenu un cri de révolte et de ralliement pour toutes les victimes de crimes policiers.

Campagne de communication nationale

« Urgence notre police assassine »

Urgence notre police assassine est tout d’abord un site internet visant à dénoncer l’impunité qui entoure les crimes policiers. Relayant les campagnes d’action menées par différents collectifs engagés contre les crimes policiers et les violences sécuritaires, 

En prévision d’un mois de mars consacré à la visibilisation des crimes policiers et des violences sécuritaires (manifestations) et de son procès le 7 avril au TGI de Paris, Urgence Notre Police Assassine lance une campagne de communication nationale et de sensibilisation.

Nous vous invitons à y participer en collant des stickers « Urgence notre police assassine » dans nos villes et campagnes à travers toute la France. Les personnes qui souhaitent participer peuvent nous laisser une adresse et le nombre de stickers qu’ils souhaitent coller pour que nous puissions leur envoyer tout le nécessaire. Nous invitons également les participants à prendre des photos et à nous les faire parvenir pour faire entendre leur voix et rendre notre campagne plus visible.

“Nous trouverons un chemin ou nous en ouvrirons un” Hannibal

urgence-notre-police-assassine@live.fr

JUSTICE POUR WISSAM

Dans un contexte de dérives sécuritaires, et alors que le tribunal de
Marseille se saisit pour un “lancer de chat” et condamne l’auteur à un an de
prison ferme en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, on s’interroge
sur la capacité de la justice à produire des jugements express pour des
affaires mineures (le chat s’en sort avec une patte cassée), tandis que la
plupart des victimes de crimes policiers attendent justice durant des années,
pour finalement très rarement l’obtenir…

Quand le pouvoir exécutif le désire, et parce qu’il veut faire preuve
d’exemple, il arrive à obtenir des Tribunaux et du Conseil d’Etat une décision
avec une rapidité incroyable, mais lorsqu’il s’agit de faire la lumière sur
l’assassinat d’un “jeune de banlieue” par un policier, il faut parfois des
années pour espérer que ce même Conseil d’Etat se sente concerné.
Justice d’exception ?

Les Anonymous, dans leur combat pour la justice, ont décidé de soutenir la
famille El-Yamni dans sa quête de vérité.

Vous trouverez ci-après lehttps://www.youtube.com/watch?v=3QwjU7Ug2Gg&feature=youtu.be
Nous adressons nos chaleureux remerciements aux Anonymous pour leur engagement
et leur soutien !ur communiqué sur l’affaire :

 

SOUTIEN D’ANONYMOUS DANS L’AFFAIRE DE WISSAM EL YAMNI
http://www.youtube.com/watch?v=3QwjU7Ug2Gg

nfo dernière minute le procès de la famille Saounera vient d’être reporté a une date ultérieur, ne nous manquerons pas de vous tenir informe

Classique! Quand ces policiers se rendent coupables de violences, ils portent plainte systématiquement contre les victimes

Vendredi 17 janvier à 13h30 au tribunal de Pontoise, se déroulera le procès des messieurs Saounera (père et fils) accusés par des policiers de violence envers agents dépositaires de l’autorité publique ! Mais selon les témoignages de la famille,ces policiers s’étaient comportés en voyous dirigeant violences physiques et insultes négrophobes à l’encontre de l’ensemble de la famille Saounera et une partie de son voisinage venu, à son détriment, faire entendre raison aux “forces de l’ordre” le 17 Octobre 2013 !

Soyons nombreux ce jour au 3 rue Victor Hugo 95300 Pontoise (terminus du train en partance de gare du nord-direction Pontoise). Ainsi nous apporterons notre soutien et témoignerons notre indignation, conscient(e)s que l’injustice dont a souffert la famille Saounera peut ou a déjà touché nombre d’entre nous.

La négrophobie est une arme (néo)coloniale d’aliénation et de destruction massive qui n’avoue pas son nom.

COLLECTIF ANTI NEGROPHOBIE (www.brigadeantinegrophobie.wordpress.com)

Un an après la mort de Wissam El Yamni, une enquête à reculons

Un an après la mort de Wissam El Yamni, une enquête à reculons

Un an après la mort du jeune clermontois, tombé dans le coma suite à son interpellation le 1er janvier 2012, aucun policier n’a été mis en examen ni même entendu par les juges d’instruction. Une nouvelle expertise, contestée par la famille de la victime, conclut à un malaise cardiaque. Le Défenseur des droits va mener ses propres auditions.

Comme un mauvais scénario qui se répète. Celui d’une justice excessivement lente et prudente dans les cas de violences policières. À Clermont-Ferrand, l’enquête sur la mort de Wissam El Yamni piétine. Interpellé dans la nuit du 1er janvier 2012, Wissam El Yamni, un chauffeur-routier de 30 ans, était resté dans le coma neuf jours avant de décéder à l’hôpital. Plus d’un an après l’ouverture d’une information judiciaire pour « violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner par personne dépositaire de l’autorité publique » (un crime passible des assises), les conditions de sa mort demeurent mystérieuses.

http://www.mediapart.fr/journal/france/250113/un-apres-la-mort-de-wissam-el-yamni-une-enquete-reculons 


Politis :
http://www.politis.fr/Apres-la-bavure-l-impossible-quete,23755.html

Médiapart :
http://www.mediapart.fr/journal/france/250113/un-apres-la-mort-de-wissam-el-yamni-une-enquete-reculons
http://www.mediapart.fr/article/offert/824eb25a7b5b9d363fcc1733d0c975ca
http://www.mediapart.fr/journal/france/311213/mort-apres-avoir-ete-interpelle-bataille-dexpertises-medicalesCQFD
http://cqfd-journal.org/Wissan-est-mort-et-il-ne-se-passe

liberation :
http://www.liberation.fr/societe/2013/01/08/un-an-apres-le-deces-suspect-de-wissam-el-yamni-la-famille-en-quete-de-verite_872519

lemonde :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/06/15/mort-apres-une-interpellation-a-clermont-ferrand-le-corps-de-wissam-el-yamni-rendu-a-la-famille-six-mois-apres_1719486_3224.html

aljazeera :
http://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2013/07/2013724132229777442.html 

 

Genevilliers attaque policière contre la liberté d’opinion

16 décembre 2013
Communiqué

Une nouvelle attaque policière contre la liberté d’opinion et de presse à Gennevilliers après l’arrestation du 17 avril dernier.

Ce lundi 16 décembre après-midi, Natacha, membre du syndicat Sud Éducation 92 et Ivan et Janos, membres du Réseau Résistons ensemble contre les violences policières et sécuritaires, diffusaient le petit bulletin mensuel du Réseau qui existe depuis 2002, et est à son 125ème numéro, intitulé “Crimes policiers, crimes racistes, 30 ans après rien n’a changé”. Ils le distribuaient devant la Cité du Luth à Gennevilliers (92) à la sortie du métro Les Courtilles sur le trottoir, sur le domaine public. Ils ont été arrêtés par 4 policiers de la BAC, puis ont été amenés sous la contrainte au commissariat de Gennevilliers et placés en cellule avec l’interdiction de téléphoner. Les empreintes et photos de Natacha ont été relevées alors que celles de Ivan et Janos l’avaient déjà été lors de leur arrestation dans la cité du Luth pour le même motif, le 17 avril (à ce jour toujours sans suites).
Pendant leur audition respective on leur a signifié l’accusation d’avoir diffusé le bulletin dont le contenu serait considéré par la police comme diffamatoire. On leur a également signifié qu’ils pourraient être convoqués pour la poursuite de cette affaire. Certains policiers n’ont pas hésité à affirmer que leur action était en représailles des critiques formulées dans le bulletin. À leur sortie, en dépit de leurs protestations énergiques, les policiers ont refusé de restituer le matériel saisi ainsi que de leur délivrer un reçu.
Une fois de plus la police foule aux pieds la liberté d’opinion, et affiche une volonté d’intimidation.
De notre point de vue, même sans partager l’orientation du bulletin, il s’agit de réagir à ces atteintes à nos libertés.

VIOLENCE POLICIÈRE SUR UN SDF
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