Pour qui tu préfères te sacrifier ? Pour l’Etat colonial d’Israël ou pour les autorités religieuses et nationalistes de Palestine ? Sous quel drapeau meurtrier tu préfères tuer ou être tué ? Quelle idéologie va te recruter pour anéantir tous ceux qui n’appartiennent pas à ton camp ? Dans les deux cas tu devras obéir aux autorités de l’un ou l’autre. Tu devras t’allier avec ton pire ennemi : ton patron, le flic, le général, l’autorité religieuse… Continue reading Et toi ! T’as pris parti ?→
Dans la nuit du 13 février, une révolte éclate à la prison pour étrangers de Vincennes pour empêcher l’expulsion d’un retenu. Des caméras, des portes, du mobilier et des extincteurs sont détruits ou balancés sur les flics. Deux retenus sont condamnés à deux mois de prison. Le lendemain, des compagnon/nes viennent exprimer leur solidarité devant les murs du CRA avec des feux d’artifice et des cris de liberté, cinq personnes sont arrêtées dans la foulée. Trois sont placées sous contrôle judiciaire et deux sont incarcérées à Fleury-Mérogis (leur procès est prévu pour le 24 mars), tou/tes sont accusé-e-s d’« attroupement armé et masqué » et de refus de fichage (ADN, empreintes, photos), certaines également d’avoir fourni une fausse identité pour ralentir le travail des flics. Continue reading Que la rage explose comme un feu d’artifice→
Annonce de l’émission parloir libre: un deuxième nouveau créneau ! Tous les jeudis de 20h30 à 22h et toujours tous les samedis de 19h à 21h sur Radio Galère 88.4 fm (couvre les taules de marseille, arles, luynes). Laissez un message, une dédicace en directe à vos ami-e-s, proches, camarades, détenus-e-s au : 04-91-08-28-15
Pour nous écrire: émission parloirlibre/friche Belle de Mai/41, rue Jobin/13003 Marseille parloirlibre@riseup.net
La specie umana ha sempre avuto durante la sua evoluzione forze negative in opposizione a forze attive. E cioè, minoranze ribelli ad ogni forza costituita in maggioranza per far rispettare un loro programma sia colla forza della violenza, sia con leggi di sottomissione abituale, chiamate regole morali.
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La democrazia è rovinata, superata, inoperante, ha fatto il suo tempo la vecchia baldracca. La sua maschera egualitaria si strappa a brandelli e fa comparire una faccia schifosa decomposta qua e là dalle placche della sifilide. I numerosi amici protettori e sostenitori di ogni genere e ogni religione la accudiscono con cure devote e illuminate, cercando invano di rimediare ad anni di irreparabile oltraggio. Si tirano fuori da vecchi bauli e da vecchi scatoloni i vestiti più belli, si risolleva il petto stanco, si sostengono con artifici ogni giorno rinnovati le attrattive avvizzite della Marianna democratica e repubblicana.
(Notes: From “L’Illégalist anarchiste, est-il notre camarade?” Paris and Orleans, Editions de “l’en-dehors.” [n.d].Translated for marxists.org by Mitchell Abidor.)
When we consider the thief as such we can’t say that we find him less human than other classes of society. The members of the great criminal gangs have mutual relations that are strongly marked with communism. If they represent a survival from a prior age, we can also consider them as the precursors of a better age in the future. In all cities they know where to address themselves so they’ll be received and hidden. Up to a certain point they show themselves to be generous and prodigal towards those of their milieu. If they consider the rich as their natural enemies, as a legitimate prey — a point of view quite difficult to contradict — a large number of them are animated by the sprit of Robin Hood; when it comes to the poor many thieves show themselves to have a good heart.
(Edward Carpenter: Civilization, its Cause and Cure.)
I am not an enthusiast of illegalism. I am an alegal. Illegalism is a dangerous last resort for he who engages in it, even temporarily, a last resort that should neither be preached nor advocated. But the question I propose to study is not that of asking whether or not an illegal trade is perilous or not, but if the anarchist who earns his daily bread by resorting to trades condemned by the police and tribunals is right or wrong to expect that an anarchist who accepts working for a boss treat him as a comrade, a comrade whose point of view we defend in broad daylight and who we don’t deny when he falls into the grips of the police or the decisions of judges. (Unless he asks us to remain silent about his case) Continue reading Émile Armand (21 texts)→